La science génétique d’aujourd’hui a démystifié les tréfonds de la biologie et a apporté sa pierre à tout un éventail des domaines.Par exemple l’agriculture témoigne d’une véritable révolution avec les OGM. Cependant, faut il les utiliser, à ce niveau, sur une grande échelle?
Certains diraient que les OGM sont une panacée pour tout problème agricole. D’autres avertissent une précaution en ce qui concerne les retentissements possibles à long terme
Personnellement je suis fortement pour les OGM Parceque d’abord, ces plantes montrent une résistance aux pathogènes et un rendement plus efficace malgré les caprices naturelles. Je crois que c’est un atout non seulement pour améliorer la productivité des pays riches mais aussi pour les pays émergents, pour résoudre au problème lancinant de la faim. Deuxièmement moins le besoin des engrais dans le ferme, moins la pollution des écosystemes avoisinants Troisièmement, la meilleure qualité nutritive de ces produits peut bénéficier à la santé publique. Par exemple, le supermarché de l’avenir vanterait des fruits et des legumes dont les étiquettes indiqueraient le bilan nutritif exacte pour en choisir selon ses besoins individuels.
Ce étant dit, il reste deux choses qui méritent une réflexion. C’est la responsabilité de la biotechnologique d’assurer, autant que possible, que les nouveaux OGM aient subi des recherches rigoureuses pour les effets sécondaires avant de les lancer sur le marché. Deuxièmement, les prix devraient être abordables pour même les agriculteurs moyens .
Pour conclure, je dirais que les avantages nombreux et pratiques des OGMs dépassent les inquiétudes et il faut promouvoir leur utilisation. Toutefois, est-ce qu’on peut extrapoler l’usage de la manipulation génétique pour les êtres humains? Faut-il préciser une limite éthique? Est-ce que Cendrillon de demain remplacerait la magie de sa marraine-fée par la magie génétique afin de ‘fabriquer’ sur mesure son propre prince?
Nombre de mots 295
Wednesday, February 25, 2009
Friday, February 13, 2009
Texe argumentatif Quand l'école cognait
Depuis des siècles, la discipline en école, cette institution chargée de former les citoyens de l’avenir, a été un sujet polémique. Le débat fait rage: faut-il être sévère en classe avec le châtiment corporel où y a-t-il d’autres moyens aussi efficaces mais moins tourmenteux?
De nos jours, l’Etat a supprimé la punition physique, au moins en principe. Bien que la punition corporelle puisse renforcer effectivement la discipline, les experts en psychologie avertissent que ce genre de punition affecte le développement émotionnel de l’enfant. En plus, ces enfants assujettis à l’humiliation des fouets et des férules, grandissent, soit avec des complexes d’infériorité, soit rébellieux ou peu sûrs de soi-même.
D’autre part, il existe encore des enseignants en Inde, surtout dans le milieu rural, qui croient à la citation “le fouet de l’instruction délivre l’enfant de la folie” pour dissuader les récidivistes.
Quelle est donc la solution? Tout en avouant la nécessité de la punition pour que l’enfant se rende compte de ses fautes, je suis contre les sévices physiques. Pour cela, on peut utiliser les moyens comme la retenue en école (“detention”), on peut lui avertir fermement sans l’insulter, etc. Les enseignants doivent également savoir réperer les enfants qui souffrent de vrais problèmes psychologiques comme la dysléxie, ce qui manifeste sous forme de sous-pérformance scolaire
Ainsi, selon moi le problème mérite un remue-méninges de la part des enseignants, des parents et des psychologues. Le milieu est très important en ce qui concerne l’amélioration l’éducation primaire :par exemple la diversité ethnique dans les écoles publiques françaises implique les besoins différents tandis que le manque d’infrastructure de base, la frustration des enseignants à cause des rémunerations déplorables sont pértinents en Inde.
Nombre de mots 278
De nos jours, l’Etat a supprimé la punition physique, au moins en principe. Bien que la punition corporelle puisse renforcer effectivement la discipline, les experts en psychologie avertissent que ce genre de punition affecte le développement émotionnel de l’enfant. En plus, ces enfants assujettis à l’humiliation des fouets et des férules, grandissent, soit avec des complexes d’infériorité, soit rébellieux ou peu sûrs de soi-même.
D’autre part, il existe encore des enseignants en Inde, surtout dans le milieu rural, qui croient à la citation “le fouet de l’instruction délivre l’enfant de la folie” pour dissuader les récidivistes.
Quelle est donc la solution? Tout en avouant la nécessité de la punition pour que l’enfant se rende compte de ses fautes, je suis contre les sévices physiques. Pour cela, on peut utiliser les moyens comme la retenue en école (“detention”), on peut lui avertir fermement sans l’insulter, etc. Les enseignants doivent également savoir réperer les enfants qui souffrent de vrais problèmes psychologiques comme la dysléxie, ce qui manifeste sous forme de sous-pérformance scolaire
Ainsi, selon moi le problème mérite un remue-méninges de la part des enseignants, des parents et des psychologues. Le milieu est très important en ce qui concerne l’amélioration l’éducation primaire :par exemple la diversité ethnique dans les écoles publiques françaises implique les besoins différents tandis que le manque d’infrastructure de base, la frustration des enseignants à cause des rémunerations déplorables sont pértinents en Inde.
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Texte argumentatif: Travail et affectif
Dans le contexte où on passe une partie importante de son temps au lieu de travail, c’est naturel que les rélations amicales se nouent avec ses collègues. Cependant, faut-il déballer son bagage émotionnel au bureau ou faut-il garder une certaine distance?
D’abord analysons la problématique sur le plan social. Puisque l’homme est un animal sociale, son cerveau est construit pour faciliter un échange constant avec les autres, soit au niveau intellectuel, soit affectif.. La vie en couple et avec les amis, s’aséptise de plus en plus à cause de multiples raisons. Par conséquent, nous essayons de partager ou même infliger nos sentiments sur nos collègues. Il y a un risque de déborder son espace affectif sur quelqu’un qui ne s’y intéresse pas et ainsi d’être déçu. On risque également de dépendre d’un collègue comme une béquille émotionelle et de souffrir si cet échafaudage est retiré. Au revers de la médaille, une froideur comportmentalle peut engendrer l’aliénation.et même le mépris.
Donc je crois qu’il faut apprendre à équilibrer son intéraction avec ses collègues.On devrait être amical et gentil avec tout le monde, tout en délimitant son espace privé imperméable dans la mesure où il n’enfreint celui de l’autre ni sert comme tampon des excès du collègue.
Ainsi on peut cultiver cet art et cette technique difficile pour assurer l’harmonie et l’éfficacité au bureau.Comment le faire est une des questions pertinentes, ce qui a mis au jour un nouveau domaine qui s’appelle “la psychologie d’entreprise.”Elle a ouvert le débat, s’il vaut mieux juger la compétence professionnelle par l’QE (Quotient émotionnel) plutôt que les diplômes et l’QI (Quotient Intéllectuel)
(Nombre de mots 267)
D’abord analysons la problématique sur le plan social. Puisque l’homme est un animal sociale, son cerveau est construit pour faciliter un échange constant avec les autres, soit au niveau intellectuel, soit affectif.. La vie en couple et avec les amis, s’aséptise de plus en plus à cause de multiples raisons. Par conséquent, nous essayons de partager ou même infliger nos sentiments sur nos collègues. Il y a un risque de déborder son espace affectif sur quelqu’un qui ne s’y intéresse pas et ainsi d’être déçu. On risque également de dépendre d’un collègue comme une béquille émotionelle et de souffrir si cet échafaudage est retiré. Au revers de la médaille, une froideur comportmentalle peut engendrer l’aliénation.et même le mépris.
Donc je crois qu’il faut apprendre à équilibrer son intéraction avec ses collègues.On devrait être amical et gentil avec tout le monde, tout en délimitant son espace privé imperméable dans la mesure où il n’enfreint celui de l’autre ni sert comme tampon des excès du collègue.
Ainsi on peut cultiver cet art et cette technique difficile pour assurer l’harmonie et l’éfficacité au bureau.Comment le faire est une des questions pertinentes, ce qui a mis au jour un nouveau domaine qui s’appelle “la psychologie d’entreprise.”Elle a ouvert le débat, s’il vaut mieux juger la compétence professionnelle par l’QE (Quotient émotionnel) plutôt que les diplômes et l’QI (Quotient Intéllectuel)
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