Depuis des siècles, la discipline en école, cette institution chargée de former les citoyens de l’avenir, a été un sujet polémique. Le débat fait rage: faut-il être sévère en classe avec le châtiment corporel où y a-t-il d’autres moyens aussi efficaces mais moins tourmenteux?
De nos jours, l’Etat a supprimé la punition physique, au moins en principe. Bien que la punition corporelle puisse renforcer effectivement la discipline, les experts en psychologie avertissent que ce genre de punition affecte le développement émotionnel de l’enfant. En plus, ces enfants assujettis à l’humiliation des fouets et des férules, grandissent, soit avec des complexes d’infériorité, soit rébellieux ou peu sûrs de soi-même.
D’autre part, il existe encore des enseignants en Inde, surtout dans le milieu rural, qui croient à la citation “le fouet de l’instruction délivre l’enfant de la folie” pour dissuader les récidivistes.
Quelle est donc la solution? Tout en avouant la nécessité de la punition pour que l’enfant se rende compte de ses fautes, je suis contre les sévices physiques. Pour cela, on peut utiliser les moyens comme la retenue en école (“detention”), on peut lui avertir fermement sans l’insulter, etc. Les enseignants doivent également savoir réperer les enfants qui souffrent de vrais problèmes psychologiques comme la dysléxie, ce qui manifeste sous forme de sous-pérformance scolaire
Ainsi, selon moi le problème mérite un remue-méninges de la part des enseignants, des parents et des psychologues. Le milieu est très important en ce qui concerne l’amélioration l’éducation primaire :par exemple la diversité ethnique dans les écoles publiques françaises implique les besoins différents tandis que le manque d’infrastructure de base, la frustration des enseignants à cause des rémunerations déplorables sont pértinents en Inde.
Nombre de mots 278
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
Je m'agis avec ton opinion que les deux, les parents et les enseignants doivent penser fortement de ce sujet parce que les deux jouent un role important dans la vie de l'enfant.
ReplyDeleteUne très belle composition! C’est remarquable comment tu as établi une comparaison entre les authorités scolaires et domiciles! Mais je suis pas en accord avec tes exemples de l’Inde rural, je crois que la punition dépasse la mésure dans les villes également!!
ReplyDeleteSalut Celestina,
ReplyDeleteQuestion de tournure linguistique- je sais que le problème de punition corporelle existe dans les villes, mais c'est encore pire dans les villages. Le mot 'surtout' n'exclue pas le milieu général.
This comment has been removed by the author.
ReplyDelete